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Notre cerveau est extraordinaire. L’Homonculus de Penfield : caractéristiques et fonctions
« Théorèmes Poétiques » de Basarab Nicolescu
Les « théorèmes poétiques » sont le lieu de rencontre entre la physique quantique, la Philosophie de la Nature et l’expérience intérieure.
Sommaire | ||
I | Niveau de réalité | page 3 |
II | La raison | page 11 |
III | Science et tradition | page 31 |
IV | Le sens | page 43 |
V | La transdisciplinarité | page 52 |
VI | La poétique quantique | page 62 |
VII | La Cosmodernité | page 74 |
VIII | La bêtise | page 92 |
IX | La nature | page 99 |
X | Le tiers secrètement inclus | page 134 |
XI | Dieu(x) | page 149 |
XII | La vie la mort | page 159 |
XIII | Je | page 171 |
Il y a plus de cent ans, Rudolf Steiner a écrit ce qui suit : "Dans le futur, on éliminera l'âme par des médicaments. Sous prétexte d'un "point de vue sain", se trouvera un vaccin par lequel l'organisme humain sera traité, dès que possible, éventuellement directement à la naissance, afin que l'être humain ne puisse développer la pensée de l'existence d'âme et Esprit. Aux médecins matérialistes, sera confiée la tâche d'éliminer l'âme de l'humanité. Comme aujourd'hui, on vaccine les gens contre cette maladie ou telle maladie, ainsi à l'avenir, on vaccinera les enfants avec une substance qui pourra être produite précisément de telle sorte que les gens, grâce à cette vaccination, seront immunisés d'être soumis à la "folie" de la vie spirituelle. Il serait extrêmement intelligent, mais il ne développerait pas une conscience, et c'est le véritable objectif de certains cercles matérialistes. Avec un tel vaccin, vous pouvez facilement faire en sorte que le corps éthérique se détache dans le corps physique. Une fois le corps éthérique détaché, la relation entre l'univers et le corps éthérique deviendrait extrêmement instable, et l'homme deviendrait un automate, car le corps physique de l'homme doit être poli sur cette Terre par une volonté spirituelle. Alors, le vaccin devient une sorte de force arhimanienne ; l'homme ne peut plus se débarrasser d'un sentiment matérialiste donné. Il devient matérialiste de constitution et ne peut plus s'élever au spirituel". Rudolf Steiner (1861-1925)